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Ces générations X & Y que les RH & Managers ne savent plus comment prendre
La presse très régulièrement fait le constat de difficultés rencontrées par les managers, et les ressources humaines dans les entreprises, en ce qui concerne la gestion des ressortissants des générations X, et Y.
Petits rappels : la génération X est celle de ceux nés entre 1960 et 1979 selon William Strauss et Neil Howe (qui ont établi le classement sociologique associé), la génération Y quant à elle désigne ceux nés entre 1981 et 1999.
Les X seraient des rebelles potentiels, qui avec l'âge se seraient pour certains mus dans des postures conservatrices, et un peu anesthésiées, bref pas assez dynamiques, et un peu contestataires. En ce qui concerne les Y alors là rien ne va plus, car la aucune des recettes habituelles ne semble donner de résultats intéressants du point de vue de l'entreprise. On dit d'eux qu'ils veulent tout tout de suite, qu'ils sont capricieux, qu'ils n'ont pas encore commencé à travailler et qu'ils veulent déjà connaitre les avantages sociaux, et le nombre de jours de congé...
Serait-ce une génération oisive qui n'a pas le sens des responsabilités comme semble l'évoquer la presse le plus souvent qui se contente de répéter bêtement ce que leurs "experts" en ressources humaines leur disent. À les lire la génération X qui n'était pas si fameuse ne semble finalement pas si mal, car a bien y regarder même si elle rechignait de temps en temps, elle bossait sans trop poser de question, on pouvait la promener pendant quelques années avant qu'elle se rende compte que l'on se payait sa tête, et qu'elle monte au créneau pour réclamer son du. Elle au moins avait le sens de l'effort, et si on savait la "gérer" ça se passait bien...
En fait ces clichés largement véhiculés par tout ces sois-disant "spécialistes" des ressources humaines, et de nombreux managers, ne sont que le reflet de la parfaite incompréhension qui s'est installée entre les jeunes, et le monde du travail (en tout cas en France). Le fossé est tel que la nation tout entière va probablement en vivre les conséquences dans les années à venir, pourquoi ?
Tout simplement parce que d'un coté, celui des entreprises, on est resté dans tous les conservatismes classiques du management, de la vision productiviste pyramidale, ou l'on a toujours une forme de délicat mépris pour celui que se trouve en dessous de nous dans l'organigramme, et/ou le but du jeu est de dépenser le moins de ressource financière afin d'obtenir du collaborateur la plus grande quantité de travail efficace. De la pression, des miroirs aux alouettes, un embrigadement collectif de masse, la manipulation du groupe, et cela devrait fonctionner comme cela a fonctionné pour les générations passées. Et de l'autre les jeunes n'entendent pas se laisser faire, et là il y a un hic ça ne semble plus marcher du tout.
Les jeunes embauchés démissionnent dans les trois premières années, ne manifestent pas une motivation et une implication comme leurs prédécesseurs, que se passe-t-il ?
La réponse tient à la lucidité de cette dernière génération, qui grâce à la circulation de l'information, une bonne formation générale, et du bon sens hérité de certains ainés, considère qu'elle ne se mettra pas au service des entreprises à tout prix, mais avec des contre parties plus exigeantes qu'avant. Ils ont la bonne idée de se demander des choses comme, qu'est-ce qui est vraiment important pour moi dans ma vie ? Quel équilibre je souhaite y mettre ? etc...
Il s'agit en fait d'une maturité précoce qui prend au dépourvu managers et RH de tous poils, qui ne se sont éventuellement pas posés toutes ces questions au tout début, et se sont jetés comme des "benêts" dans l'entreprise sans aucun recul, et s'y sont fait aspirés avant de devenir des "robots" qui perpétuent un modèle en pleine déliquescence, pour ne pas dire déjà moribond. Le plus triste est que finalement ceux qui sont aux commandes ne changeront rien, car ils ont forcément raison puisqu'ils sont aux commandes, et parce que l'on a toujours fait comme cà, et qu'éventuellement leur entreprise continue a faire des profits. Sauf que les études et les chiffres disent le contraire. Lorsque cela chatouille vraiment trop, on fait des articles dans les journaux internes en expliquant que l'on a pris en compte cette génération Y et que l'on a mis en place des mesures censées permettre leur intégration en douceur. Alors bien sûr que ces mesures sont essentiellement de la com qui sera oubliée dans quelque mois...
Et alors quel gâchis, car si tous ces jeunes devenaient hypermotivés, l'entreprise ne ferait pas des profits, elle deviendrait une locomotive extraordinaire et multiplierait les profits par X, sans parler du fait que l'atmosphère de travail deviendrait agréable pour tous.
Le vrai gros pavé dans la mare vient de personnes comme Vineet Nayar (Patron d'une société indienne de 55000 personnes dans le domaine de l'informatique ), qui lors de la crise de 2008, 2009 avait une croissance insolente alors que toutes les autres entreprises du monde entier étaient en récession très importante. Nos élites habituelles issues de grandes écoles, Françaises ou étrangère n'ont rien pu y faire. Qu'a-t'il fait de remarquable pour obtenir un tel résultat ?
Et bien en fait il s'est dit que s’il souhaitait avoir de meilleurs résultats que la concurrence il devait en tout premier lieu ne pas appliquer les mêmes recettes de cuisine, sinon il aurait les mêmes résultats.
Deuxièmement il s'est vraiment questionné sur ce qui avait de la valeur ajoutée dans son entreprise ? La réponse qu'il a trouvée c'est ses employés. Il s'est donc dit si je les mets au coeur du dispositif, et pas comme des ouvriers du taylorisme comme les font la plupart des autres entreprises cela devait permettre d'autres perspectives...et c'est exactement ce qui c'est passé.
Il a décidé que les employés étaient ce qu'il y avait de plus important et que donc leur marge de manoeuvre devait être maximale puisqu'en réalité c'est eux les experts, et les faiseurs qui fournissent un service ou un produit au client. Il a matérialisé cela par un mantra "les employés d'abord, les clients en suite, et le top encadrement en dernier", on retrouve en fait la pyramide classique, mais en inverse.
Cette décision d'organisation a été implémentée en 5 ans avec des résultats spectaculaires, employés motivés, reconnus, très respectés, estimés et entreprise prospère, là où tous les autres continuaient de se lamenter en perdant du chiffre d'affaires. Tout cela est très clairement expliqué dans son livre : "Les employés d'abord les clients en suite".
Un autre livre vraiment intéressant écrit par deux jeunes Y : l'open space m'a tuer, décrit avec brio, l'insupportable "cirque" de l'univers de travail du jeune cadre dynamique. Sans concessions, et sans se laisser emporter par une position personnelle, ils ont su décrire fidèlement cette vie navrante imposée à de nombreux collaborateurs d'entreprise, tout en expliquant les causes de chaque problème.
Tout jeune sorti d'école ou d'université devrait avoir lu ce livre afin de ne pas perdre quelques années inutiles, mais il devrait surtout être lu par les acteurs exerçant ce qui y est décrit afin de changer très rapidement leurs méthodes managériales qui appartiennent maintenant s’ils avaient encore des doutes à un passé vraiment révolu.
Une société au sens large est un groupe humain dont l'objectif est d'améliorer la vie des individus, et pas l'inverse.
Sans doute gare à ceux qui n'écouteront pas les demandes de la génération Y car c'est elle qui prendra bientôt les commandes, et comme elle est active et impatiente cela pourrait prendre des formes très inattendues...voir actualité du monde arabe autour de la Méditerranée, ou plusieurs régimes sont tombés, voir émeutes en Angleterre, etc...
La caution du groupe et les indicateurs de crédibilité
Aujourd'hui, il n'est pas envisageable de postuler à un poste sans avoir à la fois le diplôme qui est l'attestation d'un groupe de professeurs que le candidat est au niveau, et des lettres de recommandations (fournies par des ex hiérarchiques, collègues, clients, etc...). Cela semble une bonne idée à première vue, mais est-ce vraiment le cas?
En fait, si l'on regarde bien, on se rend compte que toute la société semble suivre ce modèle de validation, de cooptation, car il est commode, peu coûteux, et il semble dispenser d'investigations poussées. Il serait, donc un bon moyen de déterminer qui a le droit ou pas d'avoir du crédit, une situation, un droit de parole, etc...
Pour ceux qui n'auraient pas les précieux sésames, tous les groupes humains, que je qualifierais de tribus (Seth Godin Tribes) se ferment, les observent avec crainte, parfois avec mépris ou condescendance, en leur interdisant de facto d'exercer leurs capacités. La raison en est que quelque part, ils n'ont pas juré allégeance au groupe en acceptant inconditionnellement de se soumettre à toutes les exigences sélectives de ces groupes, et se faisant, réduisant le positionnement de l'individu, sa capacité d'expression, de réalisation, car dès lors c'est le groupe qui commande, etc...
Il s'agit d'un exercice de docilité initiatique qui sert le système, et l'entretient. Prenons des exemples concrets de l'absurdité de la situation dans certains cas :
Le cas d'un psy ayant passé tous ses diplômes et finalement qui en fin de compte n'aime pas plus que cela les patients, et n'éprouve pas une grande motivation à les aider. On peut aussi imaginer celui qui a pris la théorie, les exercices, mais qui n'a pas du tout de sens du psy, et ne l'aura sans doute jamais. Leur sérail d'origine va les valider comme opérationnels et compétents. Ils seront éventuellement recommandés alors que tous deux seront parfaitement dangereux pour leur patient potentiellement.
On aurait pu transposer ces exemples avec des enseignants qui sont bons dans leur matière, mais qui ne sont pas faits pour cela. Ils obtiennent néanmoins le diplôme, et seront acceptés et soutenus par leur sérail, malgré un manque évident de pédagogie.
Cela s'applique également à de nombreuses professions des secteurs privés, public, ou libéral.
Je ne parle même pas des artistes, et des créatifs de tous poils, qui, en général ne parviennent à vivre de leur art que lorsqu'ils ont réussi à avoir la caution et la reconnaissance d'un groupe doté d'un pouvoir économique par exemple ; ceci alors que de nombreux et illustres inconnus ne perceront jamais et seront toujours mal considérés.
Ce qui pousse la société à ce type de stratégie de masse, c'est finalement la combinaison de plusieurs éléments : d'abord le conservatisme (on a toujours fait comme çà, donc il faut continuer, même si aujourd'hui on ne sait plus pourquoi) ; ensuite la peur, car l'inconnu est peu appréhendable, et l'on fait le choix parce qu'on a eu parfois de mauvaises expériences en comptant sur l'avis, l'opinion, la caution de tiers.
En suite la docilité, et la servilité, sont des prérequis de l'intégration dans le groupe. Les individus n'en tirent de bénéfices que lorsqu'ils progressent dans la structure vers le haut (et d'ailleurs souvent à quels prix : courbettes, peurs, absence de temps en dehors du travail, vie de famille sacrifiée, etc...). En revanche, pour tous les autres, c'est souvent juste une contrainte limitante, tant sur leur capacité d'expression que d'action. Aux yeux de la société et de ses membres, tout ce que fait le groupe rassure, car c'est ce que "tout le monde" fait, donc c'est présumément bien (alors que malheureusement dans de nombreux cas c'est juste l'inverse).
Combien de personnes ayant compris le fonctionnement des mécanismes de cautionnement, et des indicateurs de crédibilité font en sorte de piéger le système : achat de diplômes sur le net, fausses lettres de recommandation, vraies lettres basées sur des réciprocités de service, site internet factice, commande d'articles sur des blogues, "tchatche", et culot, etc...
Toutes ces techniques rendent aujourd'hui les choix qui sont faits inopérants dans bien des cas. Évidemment la société n'est pas idiote, elle présume que malgré les imperfections de la démarche, la plupart des opérations seront bonnes (une sorte de Pareto 80/20). Le risque et les difficultés rencontrées sont : prendre des gens qui trichent en faisant semblant de suivre les règles en vigueur, mais surtout d'écarter à la base tout les gens hyper talentueux, n'ayant pas réuni les prérequis de sélection, c'est-à-dire que la société fait le choix d'une médiocrité généralisée, et qui s'auto entretient puisque ceux de demains qui choisiront, seront sélectionnés par les médiocres d'aujourd'hui qui leur transmettront les valeurs et les pratiques défaillantes actuelles.
Imaginons maintenant le scénario inverse :
Les groupes humains ne choisissent plus par cautionnement ni par diplôme, etc... Il devient nécessaire d'évaluer pour chaque candidat ses capacités, son potentiel, soit sur la base d'un test, soit sur une mise en situation, soit sur la démonstration par un produit fini présentable.
Dans ce scénario, "les mauvais" qui éventuellement auraient pu être diplômés sont écartés (ils ne causent donc pas de dégâts à autrui, ils doivent se reconvertir en quelque chose qui leur est plus adapté, donc ils seront mieux dans leur peau).
Les bons qui ne possèdent aucune caution soutient, etc..., se voient intégrés, et donnent le meilleur d'eux même, la valeur du groupe se renforce, et en tant que futurs sélectionneurs ils choisiront avec exigences des gens de qualité à l'avenir (spirale positive).
Efficacité versus Performance
Je suis certain que bon nombre d'entre vous entendent à longueur de journée parler d'efficacité et de performance. Bizarrement, je me suis rendu compte que la plupart des gens utilisent ces mots à tort et à travers sans en comprendre vraiment le sens.
Je vais essayer dans les quelques lignes qui suivent de clarifier la situation une bonne fois pour toutes.
Notre société passe son temps à vanter les mérites de la performance qui serait le seul salut à portée de main pour nous autres mortel. Sans ce sésame indispensable, nous sommes relégués au banc de touche de tous les "loosers", qui ne sont que des médiocres.
Avant de juger si durement tous ces gens, regardons de plus près ce qui se cache derrière ces termes jargonneux :
Performance : la performance est souvent conçue comme une évaluation de la capacité à réaliser des choses avec une contrainte de moyens. Ce qui ne parait donc pas déraisonnable pour les entreprises, ainsi que pour toute une partie de la société. Cela conduit à vénérer la "sainte performance," car elle permet d'optimiser les couts dans l'idée collective entendue....
Du moins c'est ce que l'on pourrait penser en première lecture. Là où le bât blesse, c'est qu'en définitive la performance ne se soucie guère de l'objectif et qu'à ce titre des millions d'individus performants s'agitent dans tous les sens sans savoir pourquoi. En fait ils répondent tout naturellement au mode par défaut de leur sérail d'origine, c'est-à-dire d'effectuer tout un travail à moindre cout. La plupart du temps ils ont oublié, voir n'ont jamais connu les véritables objectifs à atteindre. On imagine alors aisément que les optimisations de couts perdent sérieusement de leur superbe si pour atteindre un objectif, on a dû en explorer cinq ou six à taton...
L'efficacité : en revanche, c'est la faculté à se concentrer sur l'objectif, et à l'atteindre en utilisant les moyens nécessaires. Des personnes efficaces et il y en a nettement moins et pour cause, car la plupart sont concentrées a être performantes.
le plus terrible dans cette histoire, c'est que probablement les personnes efficaces, sont plus performantes que beaucoup de personnes performantes dans la mesure ou atteignant directement leur objectif, même si les couts ne sont pas optimisés, cela coute moins cher que de tourner longtemps, en optimisant ces derniers avant d'atteindre l'objectif. Nous en sommes bien évidemment d'accord, l'idéal serait d'être les deux à la fois.
J'espère donc au travers de ce court article avoir suscité du questionnement sur vos pratiques, et espère que dorénavant vous serez surtout efficaces, car outre le résultat atteint, c'est une condition de satisfaction personnelle ce qui est rarement procuré par la performance, qui bénéficie surtout à celui qui fait une économie sur les taches réaliser, et qui la plupart du temps d'ailleurs n'en fait pas.
Les vraies origines de la crise
Beaucoup d'encre a coulé quant aux origines de la crise, les subprimes, la géopolitique, etc..., mais un livre atypique par son histoire et sa raison d'être vient apporter un éclairage édifiant sur les VRAIES causes présumées de cette crise économique, il s'agit du livre :
Confessions d'un banquier pourri
Une journaliste a pu interviewer l'auteur de ce livre un banquier français qui vous dévoilera le dessous des cartes peu reluisant de la crise qui nous a frappés tous en 2008. Vous apprendrez comment le système fonctionne...,et vous pourrez mesurer l'écart incroyable qui existe entre le commun des mortels, et quelques personnes très influentes sur le monde entier.
Excellent livre sur la pédagogie positive
Ce livre dépoussière littéralement la posture de pédagogue, et la pédagogie habituelle que l'on observe dans les écoles, dans les foyers, et qui produisent des résultats très médiocres parfois.
La Pédagogie Positive exposée dans cet ouvrage, en présentant à la fois une succession de nouvelles manières de poser son regard sur les apprentissages de l'enfant, ainsi que de nombreuses astuces ou idées pour dépasser les difficultés habituelles associées aux apprentissages, va révolutionner en douceur vos manières d'exercer cette pédagogie, en vous respectant, et en respectant l'enfant.
Ce livre se lit très facilement, et est un vrai petit plaisir jubilatoire, tant on sent, à la fois l'humour, et les vérités vécues au fil des exemples.
Il permet à tous les pédagogues en herbe, ou aux pédagogues professionnels, de dédramatiser leurs difficultés rencontrées, et propose de nombreuses solutions, et attitudes, qui a bien y réfléchir, sont évidemment très bien adaptées à l'enfant.
Le sentiment qui se dégage de ce livre est qu'apprendre à apprendre, ou à travailler peut tout à fait, et doit même devenir un plaisir, et que ce n'est pas une idée théorique mais quelque chose de concret que vous saurez vous même mettre en œuvre.
Il éclaire les parents sur leurs maladresses naturelles (Que l'on a tous commis au moins une fois), et propose des alternatives très efficaces, et vraiment adaptées pour que l'enfant soit disponible et volontaire dans les apprentissages.
C'est une véritable boite à outil de très grande qualité haute en couleurs.
On sent immédiatement que nous avons affaire à un ouvrage important et majeur, qui va très probablement devenir une référence dans le domaine de la pédagogie moderne, fondé sur l'expertise évidente de deux praticienne hors du commun, ayant vécues des expériences riches, et ayant été capables de les transmettre avec simplicité, beaucoup de joie, d'humour, et beaucoup de talent.
Pour de nombreux parents, ou enseignants ce sera un vrai levier pour les apprentissages de vos enfants, et cela constituera vraiment un assistant efficace dans votre tâche.
Pour finir je pense que cela incitera de nombreux adultes à revoir leurs propres manières d'apprendre, et de vivre leurs propres situations d'apprentissage...positif.
Je recommande cet ouvrage vous l'aurez compris, "les yeux fermés", porté par l’enthousiasme suscité par sa lecture (De nombreux amis à moi l'ont adoré également et m'en ont fait des retours très positifs).
Vitãx® et autres nouvelles : Un recueil de nouvelles originales pour curieux et curieuses à lire sans modération
Ce
de nouvelles, se démarque des publications actuelles "Main Stream", car il nous emmène dans une version transposée de certaines situations et grands sujets de la vie.
On y retrouve des thématiques qui parfois ont minées notre quotidien, et l'auteur, par un style très sobre, plein d'humour et avec finesse va nous emmener dans ses mondes intérieurs au fil d'une succession d'histoires, ou des personnages bien choisis vont nous faire éprouver des sensations très variées.
C’est précisément ce point qui est tout à fait remarquable, car faire ressentir des sentiments fort par un écrit n'est pas à la portée de tous et toutes. Pour moi nous sommes en présence d'un ouvrage résolument moderne, mais d'une trempe à mi-chemin entre Edgard Poe, et Philip K Dick.
Ce qui m'a plu également c'est le fait que chaque histoire possède des clefs de lectures variées, ou une parabole, ou encore une transposition qui nous amène à réfléchir.
La trame principale, est simple et agréable, mais le fond est à rechercher et crée un intérêt majeur, au sein de ce livre. Cet ouvrage plaira à un public assez varié, mais évidemment, les plus malicieux d’entre nous, qui aiment découvrir, vont évidemment se régaler.
Vous l'aurez compris, je suis fan, et le recommande "les yeux grands ouvert"..., à partager avec vos amis, ou en famille c'est vraiment un bel ouvrage original, et plaisant qui change des grands standards...
Je suis né ni fille, ni garçon de Dany-Salomé Gillis
Ce livre est vraiment saisissant, on y explore la réalité de la sexuation d'un être, ses doutes, ses difficultés, son positionnement au combien difficile dans un monde qui est manichéen.
On est soit garçon soit fille, et pourtant cette vision est tout à fait limitée, et la réalité toute autre.
Combien d'hommes ont une part de féminité développée ? et combien de femmes ont une part très masculine ? Cet ouvrage met excellemment bien en perspective la différence entre un corps biologique sexué d'une certaine manière et le sexe psychologique de son propriétaire.
Les attirances, les sensations, et la légitimité à aller vers ce qui nous convient, font voler en éclat tous les préjugés éventuels que l'on pourrait avoir sur le sujet de l'intersexualité, la transsexualité, ou sur l'homosexualité, et même sur l'hétérosexualité, qui n'est pas si tranchée...
L'histoire de Danny-Salomé, est une porte sur la tolérance, et la réappropriation de notre genre, ou devrai-je dire de nos genres....la lecture de cet ouvrage m'a fait réfléchir par un prisme tout a fait différent sur les genres humains, si vous êtes curieux et avez toujours été intéressé par ce qui est différent, le genre, l'androgynie, ce livre est fait pour vous. vous pourrez le trouver ici :
En tout cas je vous recommande ce livre, qui rend caduque les débats politiques tels ceux sur le mariage pour tous....qui à la lumière de ce livre nous fait sauter au yeux l'évidence, si elle n'était pas déjà aussi claire.
C'est un beau voyage dans la réalité d'un être complexe, dont la vie a été une succession de difficultés, par la bêtise du monde, et la singularité de l'auteur.
Je l'aimais
Magnifique film :
En une nuit, Pierre (Daniel Auteuil) va partager avec sa belle-fille Chloé (Florence Loiret-Caille), ce grand secret qui le hante depuis vingt ans, celui qui le mit face à lui-même, à ses contradictions et à ses choix, à son rôle d’homme et à ses manques.
Le secret de cet amour pour Mathilde (Marie-Josée Croze), pour lequel il n’a pas tout abandonné, choisissant une route plus sûre et plus connue. En une nuit, nous découvrirons la vie d’un homme qui n’osa pas.
La Vague (Die Welle)

La vague est un film allemand qui donne fortement à réfléchir quand à ce qui se passe dans le monde autour de nous, et surtout sur comment un régime totalitaire pourrait refaire surface dans une démocratie moderne...contre toute attente, il est inspiré du reste d'une histoire vraie ! Je recommande vivement pour adultes et ados.
Revol-V Premier Album : Power of Words -> Une Révolution...
Voici très sérieusement un des meilleurs album de musique moderne depuis plusieurs dizaines d'années.
D'habitude il y a une ou 2 chansons qui sortent du lot, et bien là elles sont toute super sympa, avec quelque chose de bien particulier. Si vous voulez néanmoins un aperçu rapide la 2 (Arborescence), la 5 (The february man et la dernière la 11 (Fantasy), sont chacune dans leur genre de magnifiques productions.
Ce grand artiste compositeur, musicien, et interprète est un sur-doué de la musique, il sait tout faire, il est traversé par la musique.
Pour ne rien gâcher, il a une superbe voix, sans parler de sa "belle gueule" de bad boy qui ne manquera pas de plaire à ces dames, ou même à ces messieurs...il est trans-générationnel, et plait donc à tous publics.
Ce qui est super aussi, c'est qu'il a sorti son premier album, à travers la plateforme Bandcamp, donc c'est super pratique, car vous pouvez écouter tout l'album sur le net afin de vous faire une idée (Voir boutons entourés en bleu ci-dessus).
Il est aussi disponible sur amazon.fr :
ou sur Itunes :
https://itunes.apple.com/ne/artist/revol-v/id719279183
Sur Bandcamp :
Vous pourrez acheter l'album ou les chansons à la pièce, en cliquant sur buy (au centre des cercle rouges toujours au dessus), ce qui vous amènera à une fenêtre comme suit :
Il ne vous restera plus qu'à choisir le montant que vous voulez pour l'artiste supérieur ou égal à 11 €
Vous pourrez payer par carte bancaire ou par Paypal (par paiement totalement sécurisé)
En suite vous serez invités à télécharger son album au format qui vous plaira :
- MP3 320 Constant Bitrate
- MP3 Variable Bitrate
- AAC
Pour les audiophiles et geek en tous genres :
- FLAC (Qualité CD pour les Audiophiles)
- OGG Vorbis
- ALAC
N'hésitez pas à le rémunérer car pour une fois votre argent ira à l'artiste, ce qui lui permettra de financer son activité de musicien, donc si vous aimez sa musique et que vous voulez voir d'autres albums aussi extraordinaire que celui-là....il faut l'aider !!!
Son site internet : http://revol-v.com/
Pour Acheter : http://revol-v.bandcamp.com/album/power-of-words
(Si vous aviez la gentillesse de faire suivre cette adresse à tous vos contacts par mail, cela aiderait vraiment cet artiste)
ACHETEZ FONCEZ C'EST DE LA BALLE !!!!!
Si vous souhaitez, je vous invite également à le soutenir sur le web grâce à facebook, google+, et twitter.
Pour le suivre sur twitter il suffit de cliquer sur l'icone facebook de la zone pourpre de la photo du haut.
Cela vous amènera sur sa page :
Si vous souhaitez le "liker" ou "ajouter un j'aime" rendez vous dans l'ellipse rouge. Pour commander son album l'ellipse bleue qui vous amènera vers :
On retrouvera les ellipses rouge pour "Liker", et le bouton "Buy Now" pour acheter et télécharger l'album.
Voilà vous l'aurez compris je soutiens cet artiste, et j'espère que grâce à vous il va percer, ce qui pour moi ne fait aucun doute vu son talent.
A vous de jouer, ou plutôt de l'écouter et de le faire connaitre à vos amis, vos proches, vos collègues, etc...
Femmes célibataires à la recherche d'un homme (mode d'emploi)
Année après année, des femmes jeunes ou moins jeunes sont venues me trouver afin de me faire part de leurs difficultés à trouver un conjoint. Ceci m'a à chaque fois surpris, car la plupart d'entre elles étaient bien sous tous
rapports. Plutôt Jolies, intelligentes, cultivées, etc....
J'ai été stupéfait de découvrir cette détresse chez des personnes qui m'apparaissaient tout à fait bien dotées autant physiquement qu'intellectuellement dans la perspective de rencontrer un partenaire adapté, pour une vie commune.
Pour moi en tant que spectateur nous étions dans un paradoxe incroyable.
Cela me donna envie comme à l'accoutumée d'en savoir plus, et d'analyser plus avant, afin de comprendre comment on peut en arriver là...et je n'étais pas au bout de mes surprises et de mes découvertes...
Afin d'illustrer plus clairement mes découvertes, je me propose de vous faire vivre les situations de références au travers de l'exemple vivant de plusieurs personnes dont j'ai volontairement travesti le nom pour des questions de confidentialité.
La première est Irina, il s'agit d'une jolie jeune femme trentenaire (un peu moins de 40 Ans), qui exerce une activité professionnelle dans le milieu artistique. Elle est très sensible, elle a des capacités intellectuelles importantes, elle souhaite fonder une famille, et avoir des enfants. Sur la base de ses dires, rien n'y fait, elle a beaucoup de mal à rencontrer des hommes "bien".
Vu de mon point de vue extérieur ce qui me sauta aux yeux, c'est la fantastique envie de trouver un partenaire qu'elle avait. En tant que représentant de la jent masculine, je captais des messages extrêmement forts qui m'auraient fait partir au plus vite, si j'avais été un homme disponible. Son envie était telle, qu'elle projetait très fort son désir autour d'elle.
Ce faisant, je pense que c'était à peu près le répulsif à homme le plus efficace que l'on ai jamais pu inventer. La solution était à mon sens de passer dans une tournure moins en attente (un peu résignée) afin de redevenir attractives pour les hommes, et qu'ils ne pensent pas avoir le déplaisir d'être face à une mante religieuse.
Les femmes sont d'autant plus attractives, qu'elles ne sont pas trop faciles à conquérir. De plus il n'est pas envisageable de faire semblant, car cela ne fonctionne pas, le factice est immédiatement détecté.
La seule solution est de prendre la posture d'une femme qui est célibataire et contente de l'être tout en étant «open» à une rencontre cela a le mérite de ne pas faire peur à l'homme, et donc en suite, le reste peut se mettre en place. Un des autres problèmes Irina était son niveau d'exigence très élevé. "j'en veux un comme ceci", "mais pas comme cela", etc...
Avec cette posture les chances de trouver quelqu'un diminuent très sérieusement.
Que les femmes aient quelques valeurs repères, oui, c'est une bonne démarche : quelques qualités attendues, et quelques défauts éliminatoires. Par contre définir trop de critères, soit physiques soit psychologiques me parait la meilleure façon de ne trouver personne. Plusieurs de ces femmes avaient défini des critères et des qualités comparables à la définition du mouton à cinq pattes...
Évidemment le résultat semblait très éloigné de leurs aspirations à chaque fois.
Mon conseil à ces dames est : prenez en compte surtout vos impressions positives et négatives, et ne décider de poursuivre que s'il n'y a pas d'ondes négatives (ce n'est pas une garantie, mais c'est un filtrage efficace, car si déjà au début vous percevez quelque chose il faut l'écouter, car en général avec le temps cela empire).
Troisième grand conseil ne vous forcez pas, il faut écouter votre cœur plus que la raison. Ce qui n'empêche pas d'interroger votre cortex après la validation du cœur.
Si tout fonctionne bien, ne vous engagez pas avant un an au moins de vie commune, car dans la durée on a une vision objective de la relation et de notre capacité à vivre avec le conjoint.
Enfin Mesdames, sans faire des généralités du niveau "café du commerce", n'oubliez pas que nous autres les hommes somment généralement beaucoup plus simples que vous ne l'imaginez :
Nous aimons bien entendu la bagatelle, nous sentir valorisé, et utile. Nous apprécions avoir de la liberté, et l'idée de la perdre, au travers d'une relation où la conjointe pourrait apparaitre envahissante, serait tout à fait dissuasive.